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 Concept

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AuteurMessage
Emanuelle Scott
Directrice
Emanuelle Scott


Nombre de messages : 42
Date d'inscription : 30/08/2008

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MessageSujet: Concept   Concept Icon_minitimeSam 30 Aoû - 18:09

Tout commença des années avant ma naissance, par mes géniteurs eux-mêmes, de par leur dure adolescence, de par leur famille.

Le côté paternel n’était pas de ses familles nobles, riches et hautement perchées, mais plutôt d’une grande lignée d’agriculteur, sa richesse étant le sol terreux. Pas de quoi en faire tout un monument. Cette même terre passait de mains en mains, de pères en fils depuis maintes décennies. Mon père, robuste et fort, était le premier né d’une famille « normale », ce qui pouvait dire d’une filée de quatre ou cinq marmots. Donc mon père était déjà prédestiné à devenir la relève en matière d’agriculteur, il était la fierté de mes grands-parents. Lui, se donnant tout entier pour rapporter le plus de légumes pour faire un maximum de profits.

Par contre, ma mère, de son côté, n’était pas dans une situation aussi paisible que son futur mari. Elle n’était qu’une simple fille de marchand de tapisseries, qui se vendaient plus ou moins. Il avait tout juste de quoi subvenir à ses besoins et ceux du reste de la famille. Les tapis n’étaient pas de très bonnes qualités, puisqu’il dépendait des ventes qui ne fonctionnaient pas très bien. Malgré tout, ma grand-mère maternelle réussissait à leur donner un bel aspect, avec des broderies qu’elle seule arrivait à faire. Don que malheureusement ne fut pas donné à ma mère.

Chacun vivait paisiblement de leur côté, bien que les pères se connaissent depuis bien longtemps, remontant à une époque qu’eux seuls connaissaient les profondeurs. Amis malgré les années écoulées, en ne se voyant que très rarement, ils découvrirent une façon de continuer à faire prospérer leur famille. L’un pouvait offrir à sa fille un bon toit avec de la nourriture en quantité, et l’autre recevait une bru, bien éduquée, belle et gentille qui savait parfaitement bien cuisinier. Cuisinier qui manquait éperdument à ceux-ci, car ma grand-mère paternelle avait rendu l’âme quelques années plutôt, et comme ses fils étaient seulement des garçons, tous essayaient de se soustraire des tâches ménagères.

Et c’est ainsi, qu’ils se marièrent, mais contrairement à ce que vous pensez, je n’arriverais que bien des années plus tard. Je ne sais trop le pourquoi des choses, mais ma mère et mon père, après bien des tentatives, étaient incapables de procréer, peut-être par cause d’incompatibilité. Ce fut plutôt un très bon miracle de voir ma venue! Ce fait explique maintenant assez bien le pourquoi je suis la seule héritière de la lignée des Caym. Et du jeune nom que ma mère portait, je ne connut aucun de mes parents. Ma mère ne les ayant point contacté depuis son mariage.

Bien encore ce jour, cela m’intrigue toujours.

Donc je grandis en ne connaissant que l’un côté de ma famille, côté paternel. Je n’eus aucunement une enfance douloureuse, je ne manquais de rien, j’avais un bon toit, de la nourriture trois fois par jour, une mère présente, j’étais comblé! Je vivais dans ma famille parfaite mon parfait bonheur.

Jusqu’au jour où j’ai pu enfin penser de moi-même et avoir mes propres opinions, le jour où je fus bien plus conscient de ce qui m’entourait (sans pour autant devenir sérieuse^^) je compris qu’elles avaient déjà dessiné tout mon avenir, que l’entièreté de mes faits et gestes étaient calculés, pour aller vers un seul but : devenir agriculteur comme mon père, mon grand-père et le père de celui-ci, ainsi que tous mes ancêtres. Je devinai bientôt la suite : mon père deviendrait de plus en plus vieux et tout le monde comptait sur moi.

J’ai bien essayé de remplir leurs attentes, mais j’avais bien vu que je n’étais pas fait pour être agriculteur. Et les regards envieux de mes cousins se faisaient souvent sentir, et j’ai commencé à leur en vouloir de me jalouser de la sorte. Qu’avais-je donc de plus? Un bout de terre! Depuis ce temps où c’était officiellement moi le prochain propriétaire, ma relation avec mes cousines se dégrada. Je les entendais se plaindre à mon propos. Ce qu’elles m’exaspéraient! Ne se rendaient-ils point compte qu’ils avaient toujours eu ce qu’ils voulaient depuis leur naissance? De cela, ils en étaient aveugles, ce fut à partir de cela que je commençai à me lasser d’entendre les gens se plaindre à mes oreilles. Et c’est à partir de ce jour aussi que j’essayai de m’éloigner des gens qui vivaient dans le luxe, dans leur parfait petit monde.

Rendu à l’âge de dix-sept ans, j’avais quasiment rompu tout lien avec mon père, discutant fortement de mon désir de laisser la terre à mes cousines, me libérant des chaînes du destin de ma famille. Bien entendu, celui-ci ne voulait rien entendre. Et bientôt, ma volonté se fit savoir dans toute la famille et chacun me regardaient comme si j’avais dit quelque chose de travers ou de les insulter. Je ne sut que plus tard qu’elles avaient pris cela comme une insulte à leur nom, pensant que je sous-entendais que la terre n’était pas assez bien pour moi, que les revenues ne me suffisaient point. Je les laissai penser ce qu’il voulait de cela, j’avais compris depuis bien des lustres que ce qu’ils pensaient de moi ne m’intéressait guère, en fait depuis le jour où ils m’ont fait voir mon avenir dans un tas de terre mouillé.


Malgré mon indifférence, je savais très bien que le Haras me revienne de droit. Quelques années plus tard je suis revenue sur mes terres. Un propriétaire d’usine voulait construire une industrie a cochon. Je lui ai acheté toutes les terres pour plus de 15 millions. La maison de mes parents était encore en bon état. J’ai du faire beaucoup de rénovation pour que sa devienne le Haras de mes rêves. Maintenant très bien connu pour ces terres agricoles et c’est bon cheval de course, le saut et de montagne. Des élèves de toutes les contrées du monde viennent pour avoir des cours. Nous avons une école prestigieuse avec de très bon professeur qui connaisse les cheveux comme le revers de leur main. De très bon cheval a monté pour des élèves qui son près a ce cassé le cou plus d’une fois et pouvoir dresser votre propre cheval.

Alors embarquer dans l’aventure !!!!
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